Podcasting : La marche à suivre pour lancer un podcast profitable avec Marco Bernard

Episode 30

Mon invité du jour, Marco Bernard, host de deux podcast hebdomadaires et également professeur à l'académie du podcast, va nous expliquer aujourd'hui tous les bénéfices que le podcasting a eu pour lui. Lien pour podcaster pro : https://bit.ly/3lJLsmt


This episode is only available in French

Itunes

Spotify

Deezer

RadioPublic

-------------------------------

[Antoine Gagné]

Social Selling 

 

On accepte que d'abord et avant tout, animer un podcast, c'est vendre. Et quand on a compris ça, bien là, on commence à voir notre animation de podcast en termes de résultats. On veut que la personne qui nous écoute ne fasse pas juste écouter pour venir chercher de l'inspiration, pour venir chercher de l'information, puis, en bout de ligne, 99 sur 100 [inaudible], on veut que la personne prenne une décision, on veut que la personne s'engage envers nous et fasse un pas supplémentaire.

 

Mon nom est Antoine Gagné et au nom de toute l'équipe de J7 Média, je suis très content de vous avoir avec nous aujourd'hui pour un nouvel épisode de Social Selling.

 

Avant d'aborder la discussion, je vous invite à vous abonner à notre podcast sur Spotify, Apple Podcast ou votre plateforme de balados préférée afin d'être notifiés des nouveaux épisodes qui sortent tous les mercredis matin.

 

Le podcasting peut être une excellente manière de bâtir une audience à travers le temps. Les avantages reliés à ce moyen de communication sont énormes. Entre les relations qui sont bâties, la création de contenus dérivés et également la proximité qu'on crée avec notre auditeur, on peut dire que le podcasting est une excellente manière de commencer à créer du contenu en 2020.

 

Mon invité du jour, Marco Bernard, host de deux podcasts hebdomadaires et également professeur à l'Académie du Podcast, va nous expliquer aujourd'hui tous les bénéfices que le podcasting a eus pour lui. Marco, bienvenue sur Social Selling.

 

[Marco Bernard]

Aïe, Antoine, comme ça va?

 

[Antoine Gagné]

Ça va super bien, ça va super bien. Puis, Marco, avant de discuter aujourd'hui, ensemble, là, des étapes qu'on doit prendre pour se lancer dans le podcasting, peux-tu nous parler un peu de tes deux podcasts hebdomadaires que tu animes?

 

Puis également, si tu pouvais nous parler des bénéfices que cette constance-là que tu as eue à travers le temps a pu avoir pour toi-même et également pour tes organisations.

 

[Marco Bernard]

Ouais, bien, écoute, bien d'abord, merci de l'invitation. De mon côté, j'anime trois podcasts, même, en tout cas, j'ai participé sur plusieurs podcasts, là, genre 5-6, mais j'en ai deux, là, que j'anime plus spécifiquement, là, depuis les derniers temps. Donc, le premier, c'est L'Accélérateur, c'est un podcast qui en est maintenant à tout près de 300 épisodes. L'autre s'appelle l'Académie du Podcast, donc, c'est un podcast, évidemment, qui parle de podcasting, et celui-là, bien, on est... on a passé le cap des 100, on est... je pense qu'on était à 113, 114 cette semaine, quelque chose comme ça, donc c'est les deux podcasts que j'anime essentiellement.

 

Bien, dans le fond, tu me parles des bénéfices et tout ça, c'est sûr que moi, de mon côté, ça s'est drôlement présenté, parce que quand j'ai démarré L'Accélérateur initialement, comme la majorité des gens, j'ai lancé un podcast pour juste partager ma passion pour le marketing à l'époque, parce que L'Accélérateur, c'est marketing, vente, entrepreneuriat, donc on tourne autour de ces sujets-là. On reçoit des invités et tout ça, donc, essentiellement, c'était ça, c'était... le but visé, c'était vraiment de partager mes trucs, puis c'était aussi d'agrandir un peu mon réseau en lien avec ça.

 

Donc, quand j'ai démarré, il n’y avait pas nécessairement d'objectif de monétisation derrière, il n’y avait pas rien par rapport à ça, puis je n’avais même pas... sur mon site Web, il n’y avait même pas rien à vendre, donc ce n’était pas pour amener des gens à faire affaire avec moi de quelque façon, puis donc, ça s'est poursuivi comme ça pendant à peu près une quarantaine d'épisodes, à peu près, je dirais, puis à ce moment-là, bien, je me suis rendu compte que les invités, les experts qui venaient sur mon podcast, j'avais l'avantage de créer des relations avec des gens-là, qui était vraiment très intéressant. Fait que ça, c'est un des bénéfices qui sont intéressants, c'est-à-dire d'être capable d'amener des gens qui sont des experts de leur domaine, ou des gens qui ont eu des belles histoires, sur ton podcast, et par la suite, bien, pouvoir les compter dans ton réseau pour on ne sait trop quoi par la suite, mais y reste que, de mon côté, bien, de la façon que ça s'est traduit, c'est qu'à l'automne de 2017, j'ai décidé de lancer un sommet virtuel sur le Web et puis ce sommet virtuel là, l'idée, c'était de faire du [inaudible] avec ça, fait que c'était d'avoir un réseau un peu plus grand, fait que ça a été... ça a été ça le lien... La première action qui a été faite au niveau du podcast, ça a été celle-là. Là, bien, j'avais reçu à l'époque, là, des gens comme Martin Latulippe, j'avais reçu des gens comme [inaudible] en France, il y avait, en tout cas, bref, il y avait plusieurs experts que j'avais reçus qui m'ont permis, justement, de mettre sur pied ce sommet virtuel là, puis, le sommet virtuel, dans le fond, a eu lieu en avril 2018. Ça s'appelait le SDAB, j'ai eu plus de 1 200 participants avec ça, puis il y a eu moins de 1 000$ de pub Facebook de mis à l'époque, puis je n’avais pas personne pour le faire pour moi. [Rires] Je le faisais par moi-même, fait que, dans le fond, j'ai probablement jeté à peu près 1 000$ à la poubelle [rires] ou presque, parce qu'essentiellement, les 1 200 participants que j'ai eus, c'était soit les conférenciers qui étaient là, un des 21 conférenciers qui était là, qui avait amené le trafic directement dans le sommet ou encore directement à partir de mon podcast.

 

Et là où ça a vraiment... évidemment, y a des gens qui se sont inscrits là-dessus, puis qui ont eu à payer un billet, donc, y avait déjà une partie monétisation qui était en route, mais ce n’était pas ça le but derrière. Le but, c'était vraiment de bâtir la liste, et pendant le sommet, c'est là qu'il y a eu une espèce de déclic qui s'est fait, parce qu’il y a eu un gars qui m'a appelé à la deuxième journée du sommet, ça durait quatre jours.

 

La deuxième journée du sommet, il y a eu un gars qui m'a appelé, puis le gars, il me dit: Marco, je suis sur ton sommet présentement, je trouve ça absolument hallucinant, ce que tu nous livres comme contenu, puis ce que les gens livrent comme contenu, mais moi, si je t'appelle, c'est parce que la plateforme que t'utilises pour faire ton sommet, ça me prend ça pour donner des cours de danse en ligne sur Internet. Fait que là, premièrement, déjà que quelqu'un trouve mon numéro de cellulaire, m'appelle sur l'heure du souper, me dise ça, puis, bon, je n’ai pas de préjugés, là, mais disons qu'à la voix du monsieur qui me parlait, je pouvais douter un peu du sérieux de la chose, fait que ce que je lui ai dit, bien, j'ai dit: Regarde, on est à jour 2 de 4, fait que rappelle-moi lundi prochain, puis on essaiera de voir comment on peut faire ça. Le lundi suivant, à 9 h, le téléphone sonnait, le gars était vraiment sérieux. Là, il avait fait faire des soumissions pour des plateformes comme ça, puis ça lui coûtait comme 40 000$. Bref, le mercredi, on avait un contrat de signé pour 25 000$ et tout ça issu directement du podcast, puis du sommet virtuel qui était là, mais initialement, c'était le podcast, parce que lui, il m'avait dit: “J'ai entendu sur ton podcast que c'est toi qui as bâti la plateforme, fait que c'est exactement ça que je veux. Je veux faire affaire avec toi. Je ne sais pas si c'est quelque chose que t'offres.”, parce que, encore une fois, je n’avais rien à vendre sur mon site, fait que, “je ne sais pas si c'est quelque chose que t'offres, mais moi, ça m'intéresse”.

 

Donc, à ce moment-là, j'avais 80 épisodes. Là, à ce moment-là, j'avais compris la puissance de ce format de création de contenu là, c'est-à-dire, premièrement, la proximité qu'on est capable d'aller chercher avec les gens. Deuxièmement, on pouvait assurément avoir de la notoriété, parce que le gars est venu vers moi, puis il m'a dit: Regarde, je veux faire affaire avec toi, même s’il n’y avait absolument aucune façon sur mon site ou nulle part de trouver une piste, là, pour faire affaire avec moi. Puis évidemment, bien, il y avait l'aspect monétisation qui entrait en ligne de compte, donc, on était en mesure de générer des revenus à partir d'un podcast.

 

Fait que, ça, ça a été la pierre angulaire de ce qui s'appelle aujourd'hui l'Académie du Podcast, parce que de ça est né un podcast qui s'appelle l'Académie du Podcast qui a été lancé quelques mois plus tard, ça, on parle d'avril 2018. L'Académie du Podcast a été lancée en août, donc 4-5 mois plus tard. Et puis, de ça est né aussi l'Académie du Podcast la business qui aujourd'hui génère dans les 6 chiffres, là, annuellement, après seulement 10 mois d'existence. Puis, bien, c'est ce qui m'a permis d'avoir entre autres des clients comme Serge Beauchemin, Martin Latulippe, Guillaume Bareil, Robin Vézina, l'École d'entrepreneurship de Beauce, bref… et 400 autres clients qui sont venus vers moi pour lancer leur podcast. Ils avaient besoin d'un coup de pouce pour leur dire un peu comment faire.

 

Fait que c'est important que les gens comprennent, là. 


[Antoine Gagné]

Là, on parle à quelqu'un aujourd'hui qui aime faire du podcast, en fait, et sait maintenant comment l'enseigner. Puis ça, je pense que c'est important de commencer là-dessus aujourd'hui, parce que t'as acquis, Marco, à travers du travail, à travers... ça fait quand même plusieurs années, là, maintenant que tu roules tes podcasts. Cette notoriété-là, cette crédibilité-là, tu es un des seuls, à moins que je ne me trompe, là, en Amérique du Nord, ou du moins, on va dire dans le milieu francophone, qui a décidé de partager et d'enseigner cet amour-là du podcast.

 

[Marco Bernard]

Bien, assurément, en francophonie, je pense qu'il y a eu une dame, là, en quelque part en Europe qui a décidé de se lancer dans ça, mais en francophonie, moi, je ne connais pas personne d'autre qui a une offre comme l'Académie du Podcast, y a pas d'entreprises qui offrent de la formation, pas d'entreprises qui offrent du suivi, après ça, pour les gens qui ont lancé leur podcast, puis qui veulent le pousser plus loin, fait que, bref, c'est quelque chose de nouveau et, évidemment, avec l'engouement qui a autour du podcast présentement, je ne me mets pas la tête dans le sable, là, je sais qu'il va y en avoir d'autres qui vont arriver dans le marché éventuellement. Présentement, je suis effectivement, en tout cas, à moins de me tromper, là, je pense qu'on est les seuls.

 

[Antoine Gagné]

Intéressant. Donc, parlons-en, maintenant, tu l'as dit, l'Académie du Podcast a été une organisation qui est née quasiment par hasard, un petit peu, hein, avec des gens qui sont venus te contacter suite à l'écoute de tes différents épisodes. Maintenant, l'entreprise a pris du gallon, tu dis que tu génères dans les 6 chiffres maintenant. Qu'est-ce que, fondamentalement, est l'offre de service de l'Académie du Podcast pour les gens qui nous écoutent, parce qu'on a beaucoup de gens sur Social Selling qui sont des marketeurs, qui vont faire de la publicité sur Facebook ou les différentes autres plateformes, y en a d'autres des gens qui ont des boutiques en ligne, bref, qu'elle est l'offre, en ce moment, de l'Académie du Podscast?

 

[Marco Bernard]

Bien, l'Académie du Podcast, essentiellement, c'est 4 produits. D'une part y a deux formations, formation numéro 1 qui est la formation [inaudible] qui s'appelle Podcasting 101, c'est toute la technique pour partir de: Je n’ai absolument rien, je n’ai pas de podcast, et je suis prêt à le lancer. Donc, toute la partie structure derrière, toute la partie technique, ça, c'est dans Podcasting 101.

 

Après ça, y a Podcaster Pro qui est la deuxième formation, la formation phare, en fait, de l'Académie du Podcast. Et ça, ça va servir à améliorer les processus, comprendre la promotion du podcast, parce que c'est une bibitte très spéciale le podcasting, puis quand on le traite comme n'importe quel autre type de formation de contenu, bien, on se rend compte rapidement que les résultats ne sont pas au rendez-vous.

 

Après ça, on a toute la partie monétisation, évidemment. Et puis on a toutes les techniques pour améliorer un peu nos techniques d'interview, améliorer tous les processus derrière au niveau de l'animation et tout ça. Donc ça, c'est Podcaster Pro.

 

Ensuite y a deux masterminds, y a un mastermind qui s'appelle le Mastermind Momentum qui, lui, sert aux gens à venir chercher de l'information, venir interagir aussi avec d'autres podcasteurs. Donc, ça, ça s'adresse à des gens qui ont déjà lancé leur podcast et qui sont, je dirais, dans les débuts jusqu'au niveau intermédiaire, là, dans le podcasting.

 

Puis après ça, bien, y a le Mastermind Premium, ça, c'est des coachings de groupe, c'est des [inaudible] à toutes les deux semaines, c'est vraiment... c'est un groupe très, très restreint pour travailler, hands on, là, directement sur ton podcast.

 

Donc, essentiellement, c'est les quatre produits. Puis au niveau de tout ce qu'il y a gratuitement, c'est ce que l'Académie offre gratuitement, bien, évidemment, y a un podcast, je l'ai dit tantôt, avec plus de 100 épisodes maintenant et, bien, y a des articles de blogue un peu partout, y a une newsletter aussi sur LinkedIn qui s'appelle Go Balado! qui est là depuis, je crois que c'était la sixième édition aujourd'hui. Donc, c'est pour donner de l'information sur le domaine et tout ça, ça s'appelle Go Balado!, c'est disponible directement sur LinkedIn. Mais quand t'es inscrit via LinkedIn, ce qui est le fun avec les newsletters de LinkedIn, c'est que ça entre aussi dans notre courriel, fait que c'est comme si on avait le meilleur des deux mondes.

 

On n'est pas obligé d'aller sur la plateforme si on n'est pas un assidu de LinkedIn, on a juste à aller s'inscrire là, puis on va le recevoir automatiquement dans notre courriel aussi.

 

[Antoine Gagné]

Intéressant. Parlons-en un petit peu, là, de ces différentes formations-là, puis également, j'aimerais que, tu sais, on pourrait essayer de donner de trucs et d'astuces à notre audience aujourd'hui. Moi, j'ai eu la chance de discuter plusieurs fois avec toi dans le passé pour les différents balados que j'anime, donc Hypercroissance et Social Selling, donc j'ai été capable d'avoir, on va dire, la bonne recette, mais, disons, quelqu'un aujourd'hui qui pense à se lancer, à faire un podcast, y a une passion, y a des envies qu'il veut partager avec une audience spécifique, comment que ça se déroule ce lancement-là? Comment se déroule cette préparation-là avant de finalement prendre le micro et de faire son premier épisode? Quelles sont les étapes que Marco Bernard va donner et va proposer à cette personne-là aujourd'hui?

 

[Marco Bernard]

Bien, la première chose, c'est, tu sais, c'est un principe marketing vieux comme le monde, mais c'est de vraiment déterminer à qui on va s'adresser. Le fameux persona, l'avatar, c'est absolument primordial. Donc, ça, il faut prendre du temps pour le faire, puis on a une grippe dans Podcaster Pro et dans Podcasting 101, parce que c'est important de le faire autant à l'étape où on est rendus, peu importe l'étape où on est rendus, c'est important de le faire, donc on a une grille qui permet, en 18 questions, de, dans le fond, de passer à j'ai aucune idée à qui je m'adresse, ou j'ai une vague idée à qui je vais m'adresser, à, là, je suis rendu vraiment avec quelque chose de très, très, très précis, alors en répondant à ces 18 questions-là, on arrive à créer notre persona quand même de façon assez précise, puis après ça, bien, c'est de le faire évoluer dans le temps ce persona-là. Ça, c'est la première chose.

 

La deuxième chose, c'est un exercice qui est quand même assez intéressant à faire. C'est un exercice qui va déterminer, en fait, un sujet de podcast, parce que très souvent, l'erreur que les gens vont faire, c'est qu'ils vont déterminer un sujet de podcast en lien direct avec leur entreprise, sans nécessairement essayer de trouver l'angle unique qu'ils veulent avoir sur le podcast. Donc, ce que ça donne, en bout de ligne, c'est que ça donne un podcast qui, un, n'a pas de personnalité, et deux, il est pareil comme peut-être 10 autres, 20 autres, quoique, là, au niveau de la francophonie, on n'a pas beaucoup de podcasts au moment où on se parle, mais qui peut être potentiellement pareil, identique, de plein d'autres podcasts, parce qu'un podcast qui traite de, je ne sais pas, moi, médias sociaux, bien, ça va rester un podcast qui traite de médias sociaux, et si on ne lui donne pas une couleur, si on ne lui donne pas une personnalité, puis si on ne lui donne pas un angle qui est différent, bien, on n'arrivera à rien, puis on va juste être un parmi tant d'autres.

 

Donc, la façon de le faire, c'est que je dis aux gens: Prends une feuille, sépare la feuille en deux, sur le côté gauche, tu vas aller inscrire tes passions, sur le côté droit, tu vas aller écrire tes expertises. Donc, plus souvent qu'autrement, dans la colonne de droite, dans les expertises, il va y avoir des trucs en lien avec l'entreprise, en lien avec ce qu'éventuellement on veut générer avec ce contenu-là. Et à gauche, bien, on va avoir les passions. Puis là, bien, c'est vraiment des passions personnelles, parce que c'est toi qui animes le podcast, alors, il faut vraiment le mettre du côté gauche, dans la colonne passions.

 

Fait que tu passes cinq minutes de chaque côté, après ça, tu retournes un autre cinq minutes du côté passions, parce qu'il va probablement y avoir des idées qui vont « poper » quand tu vas faire le côté expertise, et tu finis un autre cinq minutes expertises, puis après ça, tu essaies de relier entre elles les passions et les expertises. Ça, ça va te donner un angle qui va être unique, parce que quelqu'un, par exemple, qui adore, je ne sais pas, moi, qui adore le sport, par exemple, et qui est un fervent de marketing, bien, il va peut-être pouvoir trouver des façons de mettre tout ça ensemble et faire en sorte que, bien, il va y avoir un podcast sur le marketing, mais qui va faire des références toujours au sport. Ou, par exemple, ça va être quelque chose qui va être... ça va être un podcast qui va être là en train de faire du sport, ça peut être un podcast qui est enregistré pendant que tu fais de la course, donc, tu sais, bref, y a moyen de jumeler la passion que t'as dans la vie et l'angle que tu veux lui donner, le sujet que tu veux traiter sur ton podcast et faire en sorte que ces deux choses-là vont être ensemble, puis le gros avantage que t'as au-delà du fait que ça va te donner un angle unique, que ça va te donner vraiment une personnalité, puis une couleur absolument unique, c'est que ça va faire en sorte que tu vas avoir un puits sans fond de sujets avec ça, là. Parce qu’une semaine, tu vas être un peu plus dans la passion, l'autre semaine, tu vas être un peu plus dans l'expertise, mais peu importe où tu t'en vas avec ça, c'est sûr que tu vas être en mesure de trouver des sujets de façon quasi illimitée, là, avec ça.

 

Fait que ça, c'est les deux premières étapes, je dirais, pour vraiment s'assurer d'avoir ton podcast sur des bonnes bases. Et puis, pour être capable, par la suite, avancer vers des décisions que tu vas devoir prendre, mais la grosse décision que les gens... des fois les gens ont de la difficulté avec ça, c'est que les gens ont l'impression qu'il faut divertir, il faut enseigner, il faut informer sur un podcast, il faut aider, il faut motiver les gens et ils se concentrent que sur ça. Mais la clé d'un bon podcast qui génère des résultats et qui fait en sorte qu'on peut, justement, avoir des gens qui viennent s'inscrire comme par exemple sur le sommet virtuel ou dans n'importe quel autre événement, c'est qu'il faut comprendre, il faut prendre la décision qu'on accepte que d'abord et avant tout, animer un podcast, c'est vendre.

 

Et quand on a compris ça, bien là, on commence à voir notre animation de podcast en termes de résultats. On veut que la personne qui nous écoute ne fasse pas juste écouter pour venir chercher de l'inspiration, pour venir chercher de l'information, puis, en bout de ligne, 99 sur 100 [inaudible], on veut que la personne prenne une décision, on veut que la personne s'engage envers nous et fasse un pas supplémentaire. C'est ça qu'on veut faire. Puis à partir du moment où ça, on a saisi ça, bien, on peut, justement, passer à l'étape suivante. Puis y a une technique, une stratégie, qu'on utilise dans Podcaster Pro qui s'appelle la vente par [inaudible]. Ça, la vente par [inaudible], bien, c'est 9 stratégies qu'on peut mettre dans un podcast, dans un speach, dans une conférence, dans n'importe quelle présentation qu'on va faire, qui va faire en sorte que les gens vont justement être amenés à pas juste venir chercher de l'information, mais commencer à voir les choses un peu comme nous autres, quand on parle de vente par [inaudible], bien, c'est un peu... on a juste à penser un peu à un bocal d'eau, par exemple, où on va commencer à droper juste une goutte de colorant. Mais initialement, le podcast, il est... c'est un bol d'eau et éventuellement, bien, on va droper une goutte de colorant qui est nos idées, qui est notre façon de faire, pis là, bien, graduellement, les gens vont commencer à voir les choses de notre façon, petit à petit, au fur et à mesure qu'on va droper ces gouttes-là, fait qu'à chaque fois qu'on va utiliser une stratégie de vente par [inaudible], on va droper une autre goutte, une autre goutte, une autre goutte pour faire en sorte que la personne va finir par voir les choses exactement de la même couleur que nous, puis la seule chose qui va rester à faire, c'est sortir la carte de crédit pour être capable [inaudible].

 

[Antoine Gagné]

Si vous faites de la publicité Facebook, vous vous êtes sûrement déjà posé la question suivante:

 

Comment j'augmente mon budget publicitaire sans impacter mon coût d'acquisition? Chez J7 Media, on gère près de 1 million de dollars de publicité Facebook par mois et on a décidé de vous faire un guide complètement gratuit de plus de 20 pages vous montrant comment amener vos campagnes de 0 à 1 000$ par jour sur Facebook. Pour le télécharger, rendez-vous à l'URL suivant: experts.j7media.com/socialselling. Donc, je répète, experts.j7media.com/socialselling.

 

Le lien est également dans les notes de l'épisode.

 

De retour à la discussion en cours.

 

[musique]

 

[Antoine Gagné]

Corrige-moi si je me trompe Marco. C'est fascinant ce que tu viens de dire que l'idée même d'un podcast. Pas nécessairement l'idée même, mais le sujet que tu as amené c'est de vendre. Je trouve ça fascinant de la manière dont tu as amené cela.

 

Moi je serais curieux, est-ce qu'à un certain point tu t'en rends compte, avec les élèves que tu as eus sur Podcaster Pro ou sur les autres cours que tu donnes, qui sont un peu gênés de le faire?

 

Qui voient le "podcasting" comme une pièce de contenu, et les gens me suivent, c'est "cute", c'est beau, c'est le "fun". Ultimement ces gens-là ont une offre de service à commercialiser et ils n'ont pas été capables.

 

Ils sont un petit peu gênés de faire l'offre ultime et dire "Viens acheter mon produit".

 

[Marco Bernard]

Tant et aussi longtemps, Antoine, que la personne ne va pas faire une offre pour faire en sorte que l'auditeur avance dans son processus, soit le sujet du podcast que l'on anime, on ne peut pas leur rendre service réellement.

 

Parce qu'il y a trois grandes décisions que tu dois prendre.

 

La première décision, c'est d'animer un podcast, c'est de vendre.

 

La deuxième décision, c'est de vendre, c'est servir.

 

Parce que si tu ne vends pas, tu ne sers pas.

 

Il y a 1 personne sur 100 qui va prendre action réellement, de façon concrète sur ce que tu veux faire. Alors tant et aussi longtemps que la personne ne dira pas oui à une de tes offres, nécessairement tu ne feras pas ça.

 

Très souvent, les gens sont inconfortables de vendre.

 

Ça, c'est clair, tu l'as dit. C'est probablement parce que cette transformation-là, de vendre par infusion, n'a pas été faite.

 

Quand tu vois la vente comme une façon de bien servir ton audience, tu sais que tu as la meilleure façon par la suite.

 

Ça, bien il faut absolument que tu puisses être capable de le faire en utilisant ces différentes stratégies-là.

 

Dans le fond, très souvent, les gens ont le réflexe de vendre à la fin d'un épisode.

 

On va faire un épisode qui va durer 20 minutes, une demi-heure 45 minutes et un moment donné, à la fin, on va leur faire un "pitch" de 3 ou 4 minutes et on espère "closer" avec ça.

 

La vente, elle se fait pendant les 40 minutes.

 

[Antoine Gagné]

Exact.

 

[Marco Bernard]

Il faut que l'on infuse cette vente, il faut que l'on infuse l'offre que l'on veut faire au fur et à mesure que l'on avance dans ce 40 minutes pour qu'à la fin, la carte de crédit soit déjà sortie.

 

Elle est déjà sortie.

 

Il y a un conférencier qui utilise cette méthode et que j'ai eu la chance de croiser et de discuter avec lui.

 

Dans un évènement, il avait la possibilité de faire une conférence, mais il n'avait pas le droit de faire d'offre à la fin.

 

C'était, autrement dit, une , mais "no sale".

 

Il n'y avait pas de possibilité de faire un "close" à la fin.

 

Il y a une dame qui était assise dans la salle qui est allée le voir à la fin et qui lui a dit, elle a sorti sa carte de crédit, et elle lui a dit "Je te donne ma carte de crédit. Je ne sais pas ce que tu vends, mais je veux travailler avec toi".

 

Ça, ça veut tout dire.

 

Il n'avait même pas fait d'offre à la fin, il n'avait même pas dit "By the way, on peut faire ci ou ça. Je peux t'offrir tel programme ou telle consultation".

 

Il n'avait rien fait de cela.

 

La dame est juste allée le voir pour lui dire "Moi je veux absolument travailler avec toi, il faut que tu me dises comment on fait".

 

[Antoine Gagné]

Ça ne me surprend pas, parce que les bons conférenciers...

 

C'est très américain, ça on le voit.

 

Si tu vas à une conférence aux États-Unis comparativement à une conférence au Québec, j'avais une discussion avec des amis dernièrement là-dessus.

 

Une conférence aux États-Unis, c'est quasiment un "pitch fest".

 

Souvent, quand tu n'es pas allé régulièrement dans des conférences avec des Américains, tu peux quasiment être choqué.

 

Tu te dis, est-ce que je peux juste consommer le contenu sans qu'on me force la vente.

 

Pour les Américains, c'est très normal.

 

C'est comme ça que les conférences sont faites habituellement.

 

Au Québec, c'est plus rare que l'on va voir certains conférenciers arriver avec une offre très spécifique d'achat à la fin avec un temps limite ou un nombre de places limitées.

 

J'amène ce contexte pour te poser une question Marco par rapport… On revient à notre sujet initial qui est le podcast.

 

Crois-tu que c'est plus québécois de penser comme ça?

 

De ne pas vouloir faire d'offre à l'intérieur de ses podcasts.

 

Parce que, si on compare les podcasts québécois avec d'autres podcasts américains, aux États-Unis, on va voir cela excessivement souvent, des offres qui viennent à l'intérieur des épisodes.

 

Comparativement à d'autres podcasts québécois qui, ça peut arriver, mais pour la majorité de ceux que j'ai écoutés, on le voit beaucoup moins régulièrement.

 

[Marco Bernard]

Oui, tu as raison.

 

Oui, il y a un changement de croyance à faire à ce niveau-là.

 

Définitivement. Au Québec, on a tendance, dès que le côté monétaire entre en ligne de compte, on est un peu frileux.

 

Je reviens à ce que je te disais tantôt, c'est-à-dire que, si tu infuses des idées, si tu infuses ta vente au fur et à mesure que tu avances, c'est une goutte à la fois.

 

Au début, ton bocal est transparent et, là, tu "drop" une goutte.

 

Disons que ton "branding" est jaune.

 

Tu "drop" une goutte de colorant jaune et là, l'eau est jaune très pâle.

 

[Antoine Gagné]

Oui.

 

[Marco Bernard]

À l'épisode suivant, tu "drop" une autre goutte.

 

On vient de tomber un peu plus foncé. Et un peu plus foncé.

 

C'est beaucoup plus facile, après cela, de faire une offre et de demander la conversion quand on a "dropé" des gouttes un peu partout dans notre contenu.

 

Que de faire en sorte que l'on "drop" la bouteille au complet.

 

L'eau est transparente, on n'a absolument rien fait.

 

On n'a absolument rien infusé tout au long de notre contenu et, à la fin, on "drop" la bouteille de colorant tout d'un coup.

 

La personne passe de transparent à jaune foncé. Ça ne fonctionne pas.

 

[Antoine Gagné]

Ça ne fonctionne pas. Je comprends.

 

[Marco Bernard]

C'est là que c'est choquant.

 

C'est là que la personne sera choquée.

 

"C'est quoi, tu ne m'as pas avisé, premièrement que tu allais me faire un "pitch", deuxièmement, c'est quoi cette affaire-là?"

 

Tandis que si, au fur et à mesure, la vente a été infusée, au moment où tu feras ton offre, la personne, non seulement elle va s'attendre, mais elle va souhaiter que tu lui fasses une offre.

 

[Antoine Gagné]

C'est vrai ça. Elle est rendue là dans son processus.

 

[Marco Bernard]

Exact. Tu l'as amenée à être rendue là dans son processus.

 

[Antoine Gagné]

Excessivement intéressant.

 

Donc, corrige-moi si je me trompe Marco, mais à un certain point, on doit beaucoup mieux planifier notre proposition d'offre à notre audience.

 

Dans le sens que ce n'est pas à l'épisode 1 que l'on va sortir notre grosse offre à des milliers de dollars pour convertir notre audience.

 

On doit habituer notre audience à notre réalité, à notre environnement, et quand le moment sera opportun et que l'on sent que l'on est sensiblement sur la même longueur d'onde.

 

J'imagine qu'il y a des signaux pour cela.

 

Des gens qui vont t'écrire sur LinkedIn, des gens qui vont t'écrire par courriel, tu vas sentir de plus en plus qu'on te "tag" sur les médias sociaux.

 

Quand tu sens que cette confiance entre l'auditeur et l'animateur se construit de plus en plus, c'est là que tu peux faire ton offre.

 

[Marco Bernard]

Oui, tu as raison, parce que ça va être un signe qu'il y a de l'engagement qui est créé.

 

Mais il ne faut pas confondre engagement et conversion.

 

Ce n'est pas parce que tu as 10 millions de fans sur Internet qu'automatiquement tu convertiras.

 

Ce sont 2 choses complètement distinctes.

 

Il faut que tu te serves de ces fans-là.

 

Il faut que tu puisses être capable d'utiliser le fait que tu as plein de gens autour de toi pour créer du contenu qui fera en sorte que les gens vont éventuellement convertir.

 

Oui, effectivement, il peut y avoir des lumières qui s'allumeront au fur et à mesure que les gens vont t'écrire.

 

Je te dirais que le signe le plus important là-dedans, c'est que quand les gens commencent à t'écrire et commencent à te demander...

 

Un peu selon le principe que j'expliquais tantôt, avec la dame qui arrive avec sa carte de crédit, sans même qu'on ne lui ait fait une offre.

 

Quand les gens commencent à t'écrire pour te demander "Est-ce que je peux trouver un programme quelque part?"

 

"Est-ce que tu offres de l'accompagnement?"

 

En bout de ligne, soit parce que la personne ne l'a pas trouvé sur ton site, soit parce que ce n'est carrément pas indiqué.

 

À ce moment-là, tu commences à comprendre que tu fais du bon travail.

 

[Antoine Gagné]

Que l'eau est rendue jaune.

 

[Marco Bernard]

Que l'eau commence à être pas mal rendue jaune.

 

[rires]

 

[Antoine Gagné]

Et ça Marco, juste pour être certain, ce sont des principes fondamentaux de marketing plus que de "podcasting".

 

Tu prends ces principes fondamentaux et tu les appliques à un moyen de communication qui est le "podcasting".

 

Est-ce que cette information, cette éducation va être enseignée à l'intérieur de Podcaster Pro?

 

[Marco Bernard]

Oui c'est enseigné.

 

En fait, comme je le dis tantôt, au niveau de la vente par infusion, j'ai fait 3 master class.

 

Il y a 3 stratégies et pour ne pas que ce soit trop dense, je les ai divisées en 3.

 

De toute façon, il y a comme 3 grandes catégories de vente par infusion.

 

Donc ç'a été divisé en 3 catégories.

 

Ça donne des master class d'environ 20 minutes, une demi-heure chacune.

 

C'est assez digeste, on est capable de bien comprendre.

 

Surtout, on est capable d'appliquer selon, par exemple, l'objectif que l'on a derrière l'utilisation de cette stratégie.

 

Par exemple, les 3 premières stratégies visent à ouvrir l'esprit de nos auditeurs face à l'offre éventuelle que l'on veut faire.

 

On veut que les gens ouvrent leur esprit à ce que l'on a à leur dire, à ce que l'on a à leur présenter, au véhicule que l'on va leur proposer pour partir du point A pour aller au point B.

 

Donc, il y a 3 stratégies dans cette catégorie.

 

On peut les utiliser et par la suite, on peut passer à la deuxième étape de la vente par infusion.

 

De cette façon, on est en mesure de pousser plus loin à chaque étape.

 

Oui, c'est enseigné dans Podcaster Pro sous forme de master class.

 

Il y a des master class comme celles-là qui sont ajoutées de façon périodique dans le programme.

 

[Antoine Gagné]

- Parle-nous un peu de Podcaster Pro.

 

On a fait plusieurs allusions à ce programme et pour les gens qui nous écoutent aujourd'hui, on est le 8 octobre 2020.

 

Tu as un lancement qui arrive très rapidement Marco pour ce programme.

 

Parle-nous de ce programme.

 

Qui ça aide? Combien de temps ça dure? Quels sont les bénéfices que l'on peut tirer suite au programme?

 

[Marco Bernard]

Comme je le disais tantôt, les premiers grands bénéfices, c'est d'être en mesure d'avoir...

 

Parce que si on regarde, avec tout ce qui se passe ces temps-ci.

 

C'était vrai il y a 8 mois, mais c'est encore plus vrai aujourd'hui parce que les gens sont en télétravail.

 

Les gens ont moins accès à un bureau pour s'éduquer.

 

L'éducation à distance, le fait de pouvoir avoir accès à de l'information de qualité à distance, c'est rendu une priorité.

 

Quand on est entrepreneur, on se doit d'avoir une voix influente dans notre domaine d'expertise.

 

Autrement dit, on doit avoir une voix quelque part, sur le web, qui fait en sorte que les gens peuvent nous reconnaître par rapport à cela.

 

Pour être capable d'avoir une voix influente, le podcast est définitivement quelque chose d'extrêmement intéressant.

 

Pourquoi ce l'est autant?

 

Il y a 3 grandes raisons pourquoi on peut le faire.

 

Il n'y a pas beaucoup de gens qui connaissent ces 3 opportunités que le podcast crée.

 

La première chose, l'écoute moyenne d'un podcast est de 32 minutes.

 

OK, donc ça, c'est l'écoute moyenne.

 

Ce qui est phénoménal si on compare à une vidéo sur YouTube ou a une vidéo sur les médias sociaux par exemple.

 

On parle de quelque chose d'exceptionnel.

 

32 minutes versus 4 minutes en moyenne sur les autres plateformes.

 

En partant, c'est très bien.

 

Présentement, il existe moins de 20 000 podcasts francophones à travers le monde, incluant les pays d'Europe.

 

Moins de 20 000 podcasts.

 

On est entre 15 000 et 20 000 au moment où l'on se parle.

 

Il y a 70 millions de chaînes YouTube francophones.

 

Si l'on compare les deux, ce n'est pas là.

 

Comme je le disais, la quête d'information sur le web n'a jamais été aussi grande.

 

C'est sûr que ce sont 3 grands bénéfices qui peuvent être intéressants.

 

3 grandes opportunités je dirais, sur lesquelles on peut sauter au moment où l'on se parle.

 

Sinon, aller chercher la notoriété, comme je l'ai dit plus tôt.

 

Agrandir notre réseau.

 

La proximité que l'on a, autant avec les invités, qu'avec nos auditeurs.

 

Puis, la prospérité, le fait d'avoir des revenus par rapport à cela.

 

Ce sont les grands bénéfices que l'on peut tirer au niveau du podcasting.

 

Au niveau de Podcaster Pro, comme je l'ai dit plus tôt, c'est un programme qui offre l'ensemble.

 

De A à Z pour être capable de bien faire les choses pour avoir du succès avec le podcast.

 

Comment réussir le lancement de ton podcast?

 

Parce que je l'ai expliqué tantôt, Podcasting 101, ça nous amène du point zéro à être prêt à lancer son podcast.

 

Tout ce qui touche au lancement du podcast et la promotion du podcast.

 

Ensuite, il y a une partie sur l'automatisation du podcast et améliorer la qualité sonore sans avoir besoin d'un ingénieur de son.

 

Il y a des tutoriels pour utiliser les différents logiciels de montage.

 

Donc on n'a pas besoin d'un ingénieur de son pour faire cela.

 

C'est pas à pas. Ce sont des tutoriels qui durent à peu près 30 à 45 minutes qui disent exactement comment le faire pour bien réussir.

 

Ensuite, on parle du marketing, comment le propulser.

 

Une des grosses problématiques du podcast, c'est de se faire découvrir.

 

Quand on fait une recherche sur Google, automatiquement on tombe sur YouTube alors que les podcasts sont plus difficiles à trouver parce qu'on doit passer par des applications pour être capable de les écouter.

 

C'est plus complexe un peu.

 

Il faut donc réussir à bien maîtriser le marketing du podcast, c'est une bibitte à part le podcast.

 

Il faut que l'on puisse faire cela.

 

Ensuite, il y a un module : comment rendre les entrevues mémorables autant pour tes auditeurs que pour tes invités.

 

C'est très intéressant aussi pour être capable de maximiser le contact que l'on a avec ces gens et faire en sorte que ces gens fassent partie de notre réseau et qu'ils y restent pour longtemps, voir à vie.

 

Finalement, il y a le module de monétisation qui donne tous les concepts de vente par infusion et un paquet de trucs du genre pour aller chercher des résultats monétaires avec ton podcast.

 

[Antoine Gagné]

Assez intéressant. C'est complet même, je dirais.

 

Comment on peut commencer ce programme, Podcaster Pro? Quelle est la procédure à suivre?

 

[Marco Bernard]

Écoute, on est en période de lancement dans les prochains jours.

 

Tu l'as dit tantôt.

 

On a présentement quelque chose de très intéressant, je pense, pour les gens qui veulent lancer un podcast ou structurer un podcast profitable.

 

Ça peut être très intéressant.

 

C'est une master class qui se donne dans les prochains jours.

 

Ça aura lieu à partir du 20 octobre.

 

Entre le 20 octobre et le 2 novembre prochain. Ce sont 3 master class. C'est tout à fait gratuit.

 

Ça sera disponible en direct sur Facebook via des "coachings live".

 

Ce sera disponible à partir de la page qui s'appelle : Comment structurer ton podcast profitable en moins de 30 jours.

 

C'est disponible au academiepodcast.com/podcast-profitable.

 

À partir de cette URL, les gens peuvent déposer leur nom sur la liste d'attente.

 

Tout à fait gratuitement.

 

Il va y avoir accès à un groupe Facebook.

 

Il y aura ces 3 vidéos qui seront présentées.

 

Il y aura des séances de Q&A pour répondre aux questionnements des gens pour aller plus loin.

 

C'est vraiment une belle série de 3 vidéos qui démarre le 20 octobre prochain.

 

[Antoine Gagné]

Parfait, on mettra les liens dans les notes de l'épisode pour que les gens qui pensent depuis un certain temps à lancer leur podcast ou même à améliorer un podcast existant aient un point de référence.

 

Un professeur qui sait de quoi il parle parce qu'il le fait lui-même depuis plusieurs années maintenant.

 

Je pense que les gens pourront en bénéficier énormément.

 

Ceux qui pensent et qui aiment le "podcasting".

 

Marco, merci énormément d'avoir été avec nous aussi.

 

Avant que je te laisse, est-ce qu'il y aurait autre chose?

 

Peut-être même si tu pouvais laisser un petit mot sur tes podcasts existants, qui sont du très bon contenu.

 

Quels sont leurs noms? De quoi tu parles spécifiquement? À quel moment ils sortent de manière hebdomadaire?

 

[Marco Bernard]

L'Académie du podcast est le podcast qui parle de "podcasting".

 

Pour avoir une foule d'informations sur le domaine ou pour entendre des entrevues avec d'autres podcasters.

 

Il est disponible sur le academiepodcast.com directement.

 

Sinon sur n'importe quelle plateforme d'écoute Spotify, iTunes, "name it".

 

N'importe quelle plateforme.

 

L'Académie du podcast.

 

Sinon, l'Accélérateur est disponible sur mon site personnel directement.

 

marcobernard.ca encore une fois, on reçoit des entrepreneurs, des gens qui se sont démarqués dans leur entreprise.

 

On parle de vente, d'entrepreneuriat.

 

On parle de marketing aussi.

 

Il est disponible au marcobernard.ca sinon sur n'importe quelle plateforme.

 

Ça s'appelle l'Accélérateur.

 

[Antoine Gagné]

Merveilleux! Marco Bernard, merci énormément d'avoir été avec nous aujourd'hui.

 

Pour les gens qui nous écoutent, on se dit à bientôt pour un prochain épisode de Social Selling.

 

[musique]¸